… le vent dans le texte,
dans la langue et la ponctuation :
… les personnages :
eux aussi sont incarnés dans le vent, dans la structure de la
langue qui représente le vent (deuxième page de la Horde).
De plus, il s’agit d’un roman polyphonique où chaque personnage
s’exprime tour à tour en une succession de points de vue internes.
Or l’auteur utilise le procédé des symboles pour identifier les
différents personnages, qui semblent ainsi matérialisés dans le
texte.
… la Horde dans le texte, par les symboles :
… la Horde dans le texte, par les symboles :
Ce sont les différentes formations de la Horde face au vent :
ces images très frappantes font penser à des formations de combat,
comme les soldats romains de l’Antiquité, ou à une mêlée de
rugby.
... la progression de la Horde, à travers la pagination, autre création originale de l’auteur : la première page porte le numéro 700 et la dernière 0. Cela perturbe la lecture plus qu’on ne s’y attendrait… Et cela donne une autre vision des épreuves que les personnages traversent avant d’atteindre leur but.
... la progression de la Horde, à travers la pagination, autre création originale de l’auteur : la première page porte le numéro 700 et la dernière 0. Cela perturbe la lecture plus qu’on ne s’y attendrait… Et cela donne une autre vision des épreuves que les personnages traversent avant d’atteindre leur but.
Cela matérialise
aussi la révélation de la fin du roman : leur destination
ultime, que seul l’un d’entre eux connaîtra, est tout simplement
leur point de départ.
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